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Pour que les écoles de traduction universitaires soient vraiment utiles
Gile, Daniel
1992
Abstract
En tant que réalité économico-professionnelle,
l'activité de traduction s'exerce dans des conditions et
selon des modalités des plus variées: activité
rémunérée à temps plein, activité complémentaire à
temps partiel ou ensemble de taches intervenant
sporadiquement dans l'accomplissement de
responsabilités différentes, travail exigeant de recréation
littéraire, entreprise de communication
scientifique ou rédaction approximative de textes
destinés à la consommation immédiate, travail de grand
professionnel ou d'amateur, destiné à etra lu et médité
par des millions ou à etra parcouru 'en diagonale' par un
ou deux regards dans une optique utilitaire, l'éventail
est larga et fait pensar non pas à une profession au
singulier, mais à une gamme assez variée de
professions distinctes. Une telle diversité implique des problèmes d'"identité
professionne/le", de statut social, de formation, de
rémunération, d'organisation. Ces observations étant faites, précisons que le
présent article ne traite en principe que du 'secteur
universitaire' de la traduction, c'est-à-dire celui dont le
niveau de savoir ou de savoir-faire correspond à ce qui
est généralement considéré comma un 'niveau
universitaire'.
Series
Rivista internazionale di tecnica della traduzione
0
Publisher
Campanotto Editore Udine
Source
Daniel Gile, “Pour que les écoles de traduction universitaires soient vraiment utiles“, in: Rivista internazionale di tecnica della traduzione n°0, Udine, Campanotto Editore (1992), pp. 7-13
Languages
fr
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